et pour ça, il faut vendre. N'importe qu'elle entreprise doit vendre, pour payer ses salaires. Pour ma part j'ai beau faire des stages, suivre des cours, j'ai rien vendu depuis une BD d'Astérix (et Obelix ;) à la braderie de Douai quand j'avais 9-10 ans.
Eh bien ce stage au Pérou aura au moins permis de réparer ça, puisque Cecovasa est sur les rangs pour vendre plusieurs tonnes de café vert biologique à une entreprise de Nouvelle-Calédonie. Bon d'accord c'est pas moi qui ai trouvé l'acheteur, j'ai reçu l'offre via un email d'une copine de promo qui fait son stage dans cette entreprise. N'empêche ça sera toujours ça de vendu pour Cecovasa!
et puis dans l'entreprise, les contacts humains sont je pense primordiaux : entre deux entreprises A et B, il y a des PERSONNES, le commercial de A et le responsable « approvisionnement » de B par exemple, avec ce que ça implique en terme de confiance, d'entente, d'organisation et j'en passe. Donc certes j'ai de la chance de connaître Juliette, mais quand on travaille pour une entreprise on vient avec ses connaissances, qu'elles soient techniques ou relationelles.
Bref, l'entreprise en question va créer un emballage (packaging je trouve ça moche!) spécial pour la commercialisation en Nouvelle-Calédonie, « café bio et équitable du Pérou », si les échantillons que le service marketing à Lima va envoyer leurs donnent satisfaction (homogénéité, goût...). Pour ma part j'espère être à Lima pour superviser l 'envoi par conteneur, en septembre vraisemblablement (la récolte vient à peine de finir ici, il faut encore tout acheminer à Juliaca puis à Lima) pour pouvoir voir se réaliser la vente concrètement.
Pour voir naître mon bébé :)